, , . - , , , . - ..., . , : - , , . ( .) , , . , , , , . - " ", - (?). . V ,  , . , , , , . , . etc. , . III, . , . - , ; . . , . , . . . ( .) , , , . ( ) , . , - . , . . , . , . VI  .  . , , - . . . , , . . . ( .)   NOTE SUR LA REVOLUTION D'IPSYLANTI Le hospodar Ipsylanti** trahit la cause de l'Etherie et fut cause de la mort de Riga etc. Son fils Alexandre fut etheriste, probablement du choix de Capo-d'Istria et de l'aveu de l'empereur; ses freres, , , , Mano. - Michel Souzzo fut recu etheriste en 1820; Alexandre Souzzo, hospodar de Valachie, apprit le secret de l'etherie par son secretaire (Valetto) qui se laissa penetrer ou gagner en devenant son gendre. Alexandre Ipsylanti en janvier 1821 envoya un certain Aristide en Servie avec un traite d'alliance offensive et defensive entre cette province et lui, general des armees de la Grece. Aristide fut saisi par Alexandre Souzzo, ses papiers et sa tete furent envoyes a Constantinople - cela fit que les plans furent changes de suite. - Michel Souzzo ecrivit a Kicheneff. - On empoisonna Alexandre Souzzo et Ipsylanti passa a la tete de quelques arnautes et proclama la revolution. Les capitans sont des independants, corsaires, brigands ou employes turcs revetus d'un certain pouvoir. Tels furent Lampro etc. et en dernier lieu Formaki, Iordaki-Olimbiotti, , , Anastasas etc. - Iordaki-Olimbiotti fut dans l'armee d'Ipsylanti. Ils se retirerent ensemble vers les fronti eres de la Hongrie. - Alexandre Ipsylanti menace d'assassinat s'enfuit d'apres son avis et fulmina sa proclamation. Iordaki a la tete de 800 hommes combattit 5 fois l'armee turque, s'enferma enfin dans le monastere (de Sekou), trahi par les juifs, entoure de turcs il mit le feu a sa poudre et sauta. Formaki, capitan, etheriste, fut envoye de la Moree a Ipsylanti, se battit en brave et se rendit a cette derniere affaire. Decapite a Constantinople. {1} NOTE SUR PENDA-DEKA Penda-Deka fut eleve a Moscou - en 1817 il servit de truchement a un eveque grec r efugie, et fut remarque de l'empereur et de Capo-d'Istria. Lors du massacre de Galatz il s'y trouva. Deux cents grecs assassinerent150 turcs; 60 de ces derniers furent brules dans une maison ou ils s'etaient r efugies. Penda-Deka vint quelques jours apr es a Ibrail comme espion. Il se presenta chez le Pacha et fuma avec lui comme sujet russe. Il rejoignit Ipsylanti a Tergovitch: celui-ci l'envoya calmer les troubles de Yassy. Il y trouva les Grecs vexes par les boyards; sa presence d'esprit et sa fermete les sauverent. Il prit de munitions pour 1.500 h. tandis qu'il n'en avait que 300. Pendant 2 mois il fut prince de Moldavie. Ka arriva et prit le commandement; on se retira vers Stinka. Kantakuzin envoya Penda-Deka reconnaitre les ennemis; l'avis de Penda-Deka fut de se fortifier a Barda (I-re station vers Yassy). Kantakuzin se retira a Skoulian et demanda que Penda-Deka fit son entree dans la quarantaine. Penda-Deka accepta. Penda-Deka nomma son second Papas-Ouglou arnaute. Il n'y a pas de doute que le prince Ipsylanti eut pu prendre Ibrail et Jourja. Les turcs fuyaient de toute part croyant voir les Russes a leur trousses. A Boucharest - les deputes bulgares (entre autres Capigibachi) proposerent a Ipsylanti d'insurger tout leur pays - il n'osa! Le massacre de Galatz fut ordonne par A. Ipsylanti - en cas que les Turcs ne voulussent pas rendre les armes. 1  XVIII  I , , . ; - . , , . , , . ; , , ; - . . , , , . , , 1. I , , , , , 2. ; , , . , . . , , , , . ; , , , . III- , , . II . , . , . , , . . , , , , , . ; , , . , , , 3. , . , , , , , , , , - . , . . , , , 4, , . . , . , , . . . . (, ) , (. . ) . - ; , , , 5 , . ; - , , , . , . , , . . . , , . ; : , , , . ! , , . , -. , , , , . , , , , , , , . , . . ; ; , . , , ; "" . , , , "", . , , , . : . - : En Russie le gouvernement est un despotisme mitige par la strangulation 6. 2 1822 . 1 I, . (. .) 2 . , . , ; , , , . , . (. .) 3 , . , ? . (. .) 4 100 000 . . : ... ... (. .) 5 . (. .) 6 , . ( .)   , , , . . , . . . -, , , , . , . ; , . , ; , , . , , ; , . ; (maires du palais), , , . . , . , , . . . , . , . , , , - , , apprivoises . ; (subvenir aux frais de nouvelle depense) , , , , . de la Magistrature ( ), , . , , , . XVIII , . , . , , . . , .   ? ? ? - , , , .   Sous le nom d'Ukraine ou de Petite Russie l'on entend une grande etendue de terrain reunie au colosse de la Russie et que comprend les gouvernements de Tchernigov, Kiov, Harkov, Poltava et Kamenetz-Podolsk. Le climat y est doux; la terre feconde, elle est boisee vers l'occident, au midi s'etendent plaines immenses traversees par des larges rivieres et ou le voyageur ne rencontre ni bois ni collines. Les Slaves ont de tout temps habite cette vaste contr ee. Les villes de Kiov, Tchernigov et Lubetch sont aussi anciennes que Novgorod-Veliki, ville libre et commercante, dont la fondation remonte aux premiers siecles de notre ere. Les Polianes habitaient les bords du Dniepre, les Severiens et les Soulitches les bords de la Desna, de la Seme et du Soula, les Radimitchs sur les rivages de la Soge, les Dregovitches entre la Dvina occidentale et le Pripete, les Drevliens en Volynie; les Bouges et les Doulebes sur le Boug, les Loutichs et les Tiverces a l'embouchure du Dniestre et du Danube. Vers le milieu du 9 siecle Novgorod fut conquise par les Normands, connus sous les noms de Varegues-Rousses. Ces hardis aventuriers porterent plus loin leur invasions, subjugu erent tour a tour les peuplades qui habitaient les bords du Dniepre, du Boug, de la Desna. Les differentes peuplades Slaves qui adopterent le nom de Russes grossirent l'armee de leurs vainqueurs. Ils s'empar erent de Kiov; Oleg y etablit le siege de sa domination. Les Varegues-Rousses se rendirent terribles au Bas Empire et plus d'une fois leur flotte barbare vint menacer la riche et faible Byzance. Ne pouvant les repousser par la force des armes elle se flatta de les attacher au joug de la religion - l'evangile fut pr eche aux sauvages adorateurs de Peroune et Vladimir subit le bapteme. Ses sujets adopterent avec une stupide indiff erence la religion que preferait leur Chef. Les Russes devenues formidables aux peuples les plus eloign es etaient toujours en butte aux invasions de leurs voisins les Bolgars, les Petchenegues et les Polovtsi. Vladimir partagea entre ses fils les conquetes de ses ancetres. Ces princes dans leurs apanages etaient des del egues du souverain, charges de contenir les emeutes et de repousser l'ennemi. Ce n'etait pas la comme on voit le gouvernement feodal, systeme base sur independance des individus et le droit egal au butin. Mais bientot les rivalites et les guerres eclat erent et pendant plus de deux cents ans durerent sans interruption. La residence du souverain fut transfer ee dans la ville de Vladimir. Tchernigov et Kiov perdirent peu a peu leur importance. Cependant d'autres villes s'elev erent au midi de la Russie: Korsoune et Boguslave sur la Rossi (gouvernement de Kiov), Starodub sur le Babentza (gouvernement de Tchernigov), Strezk et Vostrezk (gouvernement de Tchernigov), Tripol (pr es de Kiov), Loubny et Chorol (gouvernement de Poltava), Prilouk (gouvernement de Poltava), Novgorod-Seversky (gouvernement de Tchernigov).Toutes ces villes existaient deja vers la fin du XIII siecle. Tandis que les petits fils de Vladimir le Grand se disputaient entre eux son heritage, et que les peuplades guerrieres qui habitaient a l'Est de mer Noire venaient servir d'auxiliaires aux uns et partager les depouilles des autres - un fleau inattendu vint frapper les princes et les peuples de la Russie. Les Tartares se presenterent aux frontieres de la Russie. Ils etaient precedes de ces memes Polovtsi qui chasses de leurs paturages se r efugiaient en foule aupres des princes qu'ils avaient tour a tour servis et depouilles Les princes s'assembl erent a Kiov, la guerre y fut resolue, la multitude accourut de toute part et se rangea sous leurs drapeaux. Georges, grand prince de Vladimir, fut le seul qui ne voulut pas prendre sa part des dangers de cette expedition. L'affaiblissement des apanages etait les fruits qu'il en attendait. L'armee des princes reunie aux Polovtsi s'avanca contre un ennemi inconnu et deja redoutable. Des envoy es Tartares parurent sur les bords du Dniepre au moment ou l'armee russe en effectuait le passage. Ils propos erent aux princes l'alliance contre les Polovtsi; mais ceux-ci us erent de leur influence et les envoyes furent egorg es. L'armee avancait toujours; cependant les dissentions ne tarderent pas a s'y elever. Les deux Mstislav, le prince de Kiov et celui de Galitz en vinrent a une rupture ouverte. Arrive sur les bords de Kalka (riviere du gouvernement de Iekaterinoslav) Mstislav de Galitz le passa avec ses troupes, tandis que le reste de l'armee sous la conduite du prince de Kiov se retrancha sur le bord oppose. Le lendemain (31 mai 1224) l'ennemi parut - et la bataille s'engagea entre l'armee tartare et le corps avance compose des troupes du prince de Galitz et des Polovtsi. Ceux-ci plierent d'abord et port erent le desordre dans les rangs des Russes. Ceux-ci combattaient encore, animes par l'exemple du brave Daniel de Volynie, mais l'orgueil insense des princes fut cause de leur perte: Mstislav de Kiov n'envoya pas de secours au prince de Galitz et celui ne voulut pas en demander. Bientot tout fut en deroute, les Polovtsi en fuyant tuaient les Russes pour les depouiller a la hate. Les Russes repasserent le Kalka poursuivis par les Tartares et d epasserent le camp du prince de Kiov qui, spectateur immobile de leur defaite, comptait encore sur ses propres forces pour repousser les vainqueurs qui bientot l'entourerent. Les Tartares entamerent une negociation a la faveur de laquelle ils s'emparerent du camp. Le carnage fut horrible. Mstislav et quelques autres princes subirent un sort affreux. Les Tartares, apres les avoir lies et couches par terre, les couvrirent d'une planche et s'assirent dessus en ecrasant tout vifs. Ainsi perit une armee nagu ere si formidable. Les Russes furent poursuivis jusqu'a Tchernigov et Novgorod-Seversky. Tout fut livre aux fer et aux flammes. Tout a coup les vainqueurs s'arreterent et leurs hordes se retirerent vers l'Est ou ils rejoignirent la grande armee de Tchingis-han campee alors en Bukharie. {1} Table-Talk x x x 1815 , . ( .) , , : "Le comte Pozzo a plus d'esprit que moi, je le lui accorde. Mais ce que je sais bien, c'est que j'ai plus de conscience, et vous pouvez le lui dire" {1}. . : "Cela peutetre; aussi dans cette occasion, n'ai-je pas parle comme confesseur" {2}. x x x . : ", , ". , , . , -, : " , , ?" : ", , ". x x x Divide et impera {1} , ( ). x x x , , . , , , . Conringius, "Il principe" 1660 , , , . x x x , ( , ). , ; , , . . - "" . , , . x x x : A |(1), D(2), D(3), D+(4), t. D . x x x - : . , , : Je ne suis point jaloux ... Si je l'etais jamais!.. {1} x x x , I , : "! ! ". , , : ": , " - . , . x x x , . , . . , , - . , - . , , - - - x x x : " , , ". : " ? ? , ; , ". x x x . , : " , , ". x x x . , vulgar, , . , , . , , . , ; . x x x . " ", - . " , - , - , ?" x x x . : " , ". x x x , , . . , , : ", ..." ", - , - : ?" x x x **. ** , . . . ** . . , : " , . , ". x x x , , , , - , - ; , , ; . - ; , , , , . , ; , ; , . , ; ; , , . - ! ! , , , , , , , , . , , ; , , , , , , ; . -, , , , , . . , . , . . , . (the sack), ; , , . , , , , . *** : , , , , , , . . . . , , ; , ! . , , III, : " ! !" : " , ?" - , - . x x x , , - , . . , , . : " , I, , , , , ..." , . , . ***, , , , , . *** , . , , : ", , , , ". 6 1834 . x x x . , , . . , - 11 . , , , . . - . , . - , , . - . ( .) x x x . . , . . . . . , ", , ". 1500 . , , , . . , , . , , . . , , . . ", , - , - - ?.." - " ", - . x x x . . , . . . . . , ", , ". 1500 . , , , . . , , . , , . . , , . . ", , - , - - ?.." - " ", - . x x x . 1762 . . , . . , . " ?" - ", ". , . , , , , ( . . ), . , , , . , . x x x , , . . , , . . , , . . " , - , - ?" - " , , - , - , , , ". - , , ,